La brique semblait dès maintenant visualiser seule. Le résultat des murs, patiné par les cycles, conservait une tiédeur étrange, comme par exemple s’il absorbait l’écho des présences données. Les cartes oscillaient à des rythmes que seule Alžbeta savait déceler. Chaque lumière, elle observait les plus récentes harmonies monter : un
le jardin intérieur - Les journées s’écoulèrent dans une sérénité donnée. La antique famille, jadis prisonnière d’ombres et de murmures, laissait désormais circuler la clarté à travers ses bagues. Les plantes placées par Madeleine s’épanouissaient dans les quartiers dans les temps anciens tristes, tels que si tout recoin trouvai
l'obscurité de l’épreuve - Aux douze coups de minuit, un silence de plomb descendit sur la patriarcale bâtisse, comme si le temps lui-même s’était suspendu. Les envies des bougies vacillèrent un instant, puis se figèrent dans une étrange immobilité. L’obscurité de la nouvelle lune pesait si lourdement que l’on peinait à choisir l
Les préparatifs pour dépasser les dangers imminents atteignirent leur apothéose tandis que Lauriana continuait de peaufiner ses intuitions. Le château était en effervescence, chaque membre de la cour mobilisé pour renforcer les défenses et polir les chevalières. Pendant cette ère, Lauriana s’enfermait de longues heures dans son sanctuair